Richelieu. Fabriquer un quartier

Le projet

Une histoire culturelle de la ville (1750-1950)

« Quartier Richelieu » est un nom d’usage qui désigne un secteur au cœur du IIe arrondissement, entre la place des Victoires, le Palais-Royal, l’Opéra, et les grands boulevards. Les transformations de ce territoire urbain, depuis le XVIIIe siècle, sont constitutives de l’émergence de la ville moderne au XIXe siècle, et de sa patrimonialisation au siècle suivant. Il est étudié par un croisement de sources historiques numérisées : iconographiques, cartographiques et textuelles.

Prendre la mesure du quartier permet, à l’échelle de la ville, de mieux comprendre en quoi Paris se définit comme capitale culturelle. La recherche porte sur plusieurs axes, indispensables à cette compréhension : les aspects urbanistiques (transformations, destructions, reconstructions et aménagements de l’espace public) ; architecturaux (histoire des bâtiments : construction, usages, disparition) ; économiques et culturels (édition, musique, littérature, métiers, institutions et réseaux). Ces thèmes sont aussi croisés avec l’histoire des mentalités et des sensibilités, dans l’objectif de proposer une restitution virtuelle du quartier sur une application web.

Depuis 2018, ce programme de recherche est porté par un consortium d’institutions partenaires : la Bibliothèque nationale de France (BnF), le Centre allemand d’histoire de l’art (DFK), le Centre André Chastel (université Paris-Sorbonne), l’École nationale des chartes (Enc), l’Institut national d’histoire de l’art (INHA), et l’École polytechnique fédérale de Lausanne (EPFL). Il bénéficie depuis 2021 du soutien de la Fondation des Sciences du Patrimoine (FSP) et de la Banque de France (BdF).

Nous approchons le quartier à partir d'une granularité très fine, en étudiant le tissu urbain rue par rue. Ainsi, l'étude du quartier Richelieu se concentre pour le moment sur l'axe du Palais Royal et de la Rue Vivienne, en passant par la Place de la Bourse. Cette granularité permet d'étudier les différentes facettes de la ville : représentations, plans et relevés architecturaux des bâtiments, évolution du parcellaire, mentions dans les médias...

Questions d'échelle: étudier l'évolution urbaine à l'échelle d'un quartier

Replacer les représentations d'un quartier dans l'espace

Un quartier historiquement peuplé par des institutions patrimoniales

Utiliser des outils numériques pour faire une étude rue par rue du quartier

Activités

Dialogues entre pratiques numériques et histoire de l'architecture
Cycle de séminaires
Étudier la ville : un dialogue entre pratiques numériques et histoire de l'art, à l'Institut national d'histoire de l'art, de janvier 2023 à juin 2024, une séance par mois.
Journée d'études
Lieux, société, architecture : penser l'histoire de la ville par l'espace, à l'Institut national d'histoire de l'art, 15 mars 2023.
Conférences
Conférence sur l'histoire du "Quartier Richelieu" à la Banque de France, 24 mai 2023.
Communications
  • "La marque du lieu dans le quartier Richelieu : implications de la notion de lieu pour la modélisation et la visualisation d'un corpus iconographique, cartographique et textuel", Genève, Humanistica 2023, Colloque annuel de l'Association francophone des humanités numériques, 26-28 juin 2023.
  • "Richelieu. Histoire du quartier. Modelling architectural, social and cultural life of a neighbourhood in Paris in the XIXth century", Munich, Urban history and digital librairies Workshop 2023, 27-28 mars 2023.
  • "Vitrines de la ville moderne : le commerce de la mode dans le quartier Richelieu au XIXe siècle", séminaire de recherche Des territoires et des savoir-faire, Institut français de la mode, 23 février 2023.

Explorer

Commerce, architecture et mentalités

Explorer ce corpus d’images et de documents permet de porter un regard neuf sur le patrimoine et la mémoire de la ville : les photographies qui fixent le bâti et les activités qui s'y déploient (façades, scènes de rue, enseignes et les commerces) ; les estampes, affiches et dessins qui représentent des événements historiques,l’actualité théâtrale, les projets d’aménagement urbain, les menus des restaurants, les interprétations poétiques, toutes ces images qui offrent une matière foisonnante pour saisir la ville dans ses constantes réinventions et transformations.

À cet effet, plus de 3000 documents numérisés ont été réunis (photographies, gravures, éphémères, dessins, plans, maquettes, jetons...) regroupés par parcelles, par bâtiment, et par cas d’étude thématique, puis enrichis par des recherches d’archives (sommier foncier, minutier central des notaires, cartes et plans, recueils topographiques (BnF)...).

Une des ambitions du projet Richelieu est d’étudier les mécanismes sous-jacents qui font quartier à travers un corpus d’images hétérogènes qui montrent l’espace public ou qui y sont produites. Le premier périmètre d’investigation défini concerne l’axe nord-sud formé par le Palais-Royal, la rue Vivienne et la place de la Bourse. Ces trois espaces, d’époque et de nature différentes, ont des secteurs d’activités variés (institutions, types de bâtiments et de commerce) mais sont liés par une pratique urbaine solidaire.

A titre d’exemple, on y observe les différentes manières dont les pratiques du commerce et l’architecture privée se sont renouvelées afin de répondre aux usages de la société moderne, des boutiques souterraines du Palais-Royal aux magasins de nouveautés de la rue Vivienne. Plus largement, l’essor de certains secteurs d’activités économiques et culturels, l’aménagement d’infrastructures fréquentées par des flux de population, eux-mêmes composés de différents réseaux, sont constitutifs de la formation de l’espace public et privé d’un secteur et des imaginaires qu’il suscite et dont les représentations iconographiques sont un indicateur important.

Ce corpus permet également de s’interroger sur la manière dont un quartier conserve une identité à l’échelle d’une ville qui tend de plus en plus vers l’uniformisation au XIXe siècle. C’est un des enjeux du projet de prendre la mesure de cet espace, et d’observer la manière dont les localités y côtoient la généralité. En partant d’un échantillon représentatif avec le « quartier Richelieu », il est possible de donner des clés de lecture pour comprendre les transformations architecturales, démographiques, économiques ou culturelles d’un espace donné, et créer une méthodologie réplicable.

Honoré Daumier, Désolation des Cosaques de la Bourse le jour où [sic] l'on annonce que les Turcs ont remporté une victoire, Bibliothèque nationale de France

Léon Lemonneyre, Fête du 15 août 1853, orchestre devant le Palais de Cristal en construction, 1853, Paris Musées, Musée Carnavalet

Anonyme, Théâtre-Galerie Vivienne, 6 rue Vivienne... Matinées enfantines... : [affiche] / [non signé], 1885, Bibliothèque nationale de France

Eugène Atget, Galerie Colbert, rue Vivienne, 2ème arrondissement, Paris, entre 1885 et 1926, Paris Musées, Musée Carnavalet

Alcide Joseph Lorentz, Monument à Robert Macaire, 20 février 1856, Paris Musées, Musée Carnavalet

Thomas Talbot Bury, Nouveau Théâtre Feydeau, salle Ventadour, entre 1826 et 1836, Paris Musées, Musée Carnavalet

Anonyme, Palais de Cristal, place de la Bourse, rue Vivienne 25. Vêtements d'hommes et d'enfants : [affiche] / [non identifie], 1855, Bibliothèque nationale de France

Eugène Atget, Bibliothèque Nationale sur la rue Vivienne : ancien Hôtel Mazarin : [photographie] / [Atget], 1902-1903, Bibliothèque nationale de France

Henri Labrouste, [Bibliothèque impériale, plans d'ensemble]. 27, [Plan général du rez-de-chaussée, avec détail des propriétés particulières de la rue Vivienne] : [estampe, plan] / [Henri Labrouste], 1868, Bibliothèque nationale de France

C. Lacoste, Projet pour le rideau du Vaudeville, 1840, Paris Musées, Musée Carnavalet

Agence Rol (Agence photographique)[Affiches pour la souscription à l'emprunt national devant un bureau provisoire de la banque de France, Place de la Bourse à Paris] : [photographie de presse] / [Agence Rol], 1916, Bibliothèque nationale de France

Restituer

Cartographie et modélisation 3D : la place de la Bourse au XIXe siècle

Parmi les différents chantiers entrepris, un modèle 3D interrogeable de la place de la Bourse est en cours de réalisation. Il s’agit de proposer une restitution virtuelle des transformations urbaines et architecturales de cet espace au cours du XIXe siècle pour mieux comprendre la relation entre les activités de la place, son architecture, ses usages et ses représentations.

La place de la Bourse, aménagée sous le Premier Empire pour accueillir le Palais Brongniart, à l’emplacement de l’ancien couvent des Filles-Saint-Thomas, marque une étape décisive dans l’urbanisation du quartier Richelieu. Avec le Palais- Royal et les grands boulevards, c’est un des épicentres de la vie parisienne, ayant conditionné le prolongement de la rue Vivienne.

Ce travail a débuté par une collecte de données iconographiques : environ 700 gravures, dessins, photographies et plans d’archives documentent l’évolution de la place et du palais entre 1810 et 1950. La spatialisation de ces sources est rendue possible par l’établissement d’un système d’information géographique (SIG) où ont été regroupés des plans numérisés d’origines variées : censives, cadastres, atlas, plans généraux, plans de parcelles, plan d’expropriation, projets de percements et projets non réalisés. Leur superposition favorise l’étude des métamorphoses du réseau parcellaire sur un temps long et révèle le palimpseste sur lequel la ville moderne s’est bâtie, ainsi que les liens qu’elle a conservé avec ses fondations anciennes.

La modélisation se limite pour l’instant au secteur concerné par le percement de la rue du Quatre-Septembre, qui présente l’intérêt d’être amplement couvert par l’iconographie, et d’avoir connu des transformations significatives qui en font un cas d’étude riche et complexe. Un relevé de photogrammétrie de cette zone a été entrepris avec PLEMO 3D (Centre André Chastel), afin de servir d’ossature au modèle.

Par exemple, le théâtre des Nouveautés, puis du Vaudeville (27 bis rue Vivienne, ou 27 bis place de la Bourse) démoli lors du percement de la rue du Quatre-Septembre, constitue un point important de focalisation de l’iconographie de la place. De même les parcelles d’angles situées à l’intersection des rues Vivienne et des Filles-Saint-Thomas ont connus divers états successifs qui accompagnent l’évolution du quartier (activités boursières, commerce de nouveautés, agrandissements, percements de rues etc.). Rare point de stabilité : le 29 rue Vivienne, construit au même moment que le théâtre, et qui abrite encore aujourd’hui le café du Vaudeville. La restitution 3D permettra notamment d’expliciter la relation entre les façades du Palais Brongniart et son environnement urbain.

Relevé par lasergrammétrie de la Place de la Bourse

Superposition de états sucessifs de la Place de la Bourse dans un SIG

Spatialisation des points de vue depuis lesquels la Place de la Bourse est représentée dans notre corpus iconographie

Évolutions du parcellaire suite au percement de la rue du Quatre-Septembre en 1868

Géoréférencement et vectorisation des parcelles autour du Palais de la Bourse

RICH.DATA

De la recherche en histoire de l'art aux outils numériques

Le volet numérique du projet, RICH.DATA, consiste à articuler recherche en histoire de l’art et de l’architecture avec les méthodes propres aux humanités numériques. La chaîne de traitement du projet est conçue pour faire converger les différentes manières dont le quartier est abordé.

Les corpus iconographiques et cartographiques ont été constitués avec des méthodes de recherche propres aux disciplines historiques, tandis qu’un travail d’analyse géographique a permis de localiser la majorité des sources dans un SIG. Le projet a également hérité de la production d’une première phase de collecte de sources textuelles (2018-2020) : des millions d’entrées de bottins et annuaires du commerce, extraites d'imprimés du XIXe siècle par OCR (reconnaissance optique de caractères), décrivent les activités économiques du quartier.

Ces trois sources primaires sont à la base d’une chaîne de traitement numérique. Après le nettoyage et l’enrichissement automatique de ces données (annotation et spatialisation), elles sont croisées dans une base de données PostgreSQL qui permet d’expliciter les relations entre les documents : elle permet de créer des sous-corpus par thème, par bâtiment, par lieu etc.

Ce travail est enrichi par des ressources supplémentaires: une modélisation 3D de la place de la Bourse telle qu'elle était au XIXe siècle ainsi qu'un ensemble de manifestes IIIF documentant les ressources iconographiques et permettant leur partage en open-data.

Ces ressources numériques seront croisées avec un analyse historique sur une application Web, qui invitera le public à naviguer librement à travers les collections de plusieurs bibliothèques numériques, tout en proposant des itinéraires balisés autour de lieux de mémoire significatifs. Cette interface numérique, en cours de développement, cherche à offrir une navigation à travers la vie sociale, culturelle et économique du quartier.

La base de données du projet est l'élément pivot de la chaîne de traitement numérique. Par sa modélisation, la base explicite les liens entre les différents corpus : des renvois dynamiques sont créés entre chaque table. Elles représentent diverses portes d'entrée dans le quartier: il est possible de l'explorer à partir de l'iconographie (table Iconography), par numéro de rue et par entité nommée, ou par une recherche thématique (table Theme).

Ce modèle de données matérialise les questions de recherche du projet : la spatialité des sources est une problématique centrale, et chaque ressource est liée à une table Location qui définit son emplacement dans l'espace et dans le temps. Cette méthode de spatialisation originale consiste à connecter chaque image à l'emprise parcellaire à laquelle elle se rattache de manière directe et indirecte. Ce modèle relationnel, visible ci-dessous, est implémenté en PostgreSQL.

Chaîne de traîtement du projet Richelieu. Histoire du quartier

Modèle relationnel du projet Richelieu. Histoire du quartier

L'équipe

Charlotte Duvette (depuis 2021)
Charlotte Duvette dirige le projet Richelieu. Histoire du quartier à l'INHA. Docteure en histoire de l’art de l’université Panthéon-Sorbonne, elle est chercheuse associée au centre de recherche HiCSA. Historienne de la ville et de l’architecture, ses principaux travaux de recherche concernent les transformations urbaines de Paris, l’architecture privée, les jardins, l’histoire des constructions et des représentations (XVIIIe-XIXe siècles). Elle a également été commissaire de l’exposition "Napoléon et Paris : rêves d’une capitale " (2015). Dernière publication : "Entre Rome et Babylone : les toit-terrasses des nouvelles maisons de Paris (1770-1810)", dans Maison méditerranéenne, à paraître.
Paul Kervegan (depuis 2022)
Paul Kervegan est ingénieur d’études en charge des développements numérique du projet RICH.DATA. Il s’occupe de la gestion des donnés, de la conception de la base de données et des développements Web. Diplômé de l’École du Louvre et du master Technologies numériques appliquées à l’histoire de l’École nationale des chartes, il a également collaboré au projet "Katabase" (2022) à l’Observatoire des humanités numériques (ENS-PSL).
Justine Gain (depuis 2023)
Justine Gain est doctorante en histoire de l’art et chargée d’études et de recherche à l’INHA depuis 2019. Au sein du projet Richelieu, elle participe principalement aux recherches historiques et à la valorisation du Palais-Royal et de ses rues adjacentes. Diplômée de l’École du Louvre, elle prépare actuellement une thèse en cotutelle avec l’École Pratique des Hautes Études : Jean-Baptiste Plantar (1790-1879), le sculpteur ornemaniste de la Monarchie de Juillet (sous la dir. de J.-M Leniaud et Lionel Arsac).
Colin Prudhomme (2022)
Colin Prudhomme effectue un stage dont la principale mission consiste à spatialiser l’iconographie relative à la place de la Bourse afin d’en extraire une modélisation 3D. Étudiant à l’École Centrale de Lille, et à l’École des chartes (master Humanités Numériques) il a effectué plusieurs stages au sein du consortium Paris Time Machine, et s’est spécialisé dans la restitution 3D de l’espace public parisien à partir de sources historiques.
Louise Baranger (depuis 2023)
Louise Baranger est monitrice étudiante à la Direction des études et de la recherche à l’INHA depuis septembre 2022 et participe notamment à l’enrichissement des sources iconographiques du projet Richelieu. Elle est actuellement en master histoire de l’architecture médiévale à l’université Panthéon-Sorbonne et oriente ses recherches sur l’église de la Madeleine de Châteaudun.
Loïc Jeanson (2021-2022)
Actuellement à l’UNIL, il a été chercheur post-doctorant du projet Richelieu. Il s’est chargé de spatialiser le premier corpus des sources cartographiques du quartier dans un SIG et de proposer des possibilités de modélisation de données. Docteur de l’université de Nantes et de l’École centrale de Nantes, ses travaux se situent à l’interface de l’informatique et de l’étude patrimoniale.
Esther Dasilva (2022-2023)
Esther Dasilva a effectué, durant 5 mois, un stage de recherches historiques autour du cas d’étude de la place de la Bourse. Elle a réalisé une collecte de données numérisées et des recherches d’archives, valorisées lors d’une présentation à l’INHA. Elle a travaillé en binôme avec Colin Prudhomme sur la modélisation 3D de ce secteur. Actuellement en master de recherche histoire de l’architecture à l’université Panthéon-Sorbonne, elle est également diplômée d’un master en Direction des projets et établissements culturels.

Comité scientifique

Gennaro Toscano
Conseiller scientifique auprès de la directrice des collections pour le Musée, la recherche et la valorisation des collections à la BnF.
Isabella di Leonardo
Maîtresse de conférences à l'École Polytechnique de Lausanne (EPFL).
Philippe Chevallier
Adjoint au responsable de la coordination de la recherche à la BnF.
Olivier Jacquot
Responsable de la coordination de la recherche à la BnF.
Elsa Marguin-Hamon
Directrice de la recherche et des relations internationales à l'École des Chartes.
France Nerlich
Directrice du Département des études et de la recherche à l'INHA.
Peter Geimer
Directeur du Centre allemand d'histoire de l'art (DFK)
Jean-Baptiste Minnaert
Professeur d'histoire de l'architecture à l'université Paris-Sorbonne (Centre André Chastel)
Frédéric Kaplan
Directeur du Collège des humanités à l'EPFL

Crédits

Direction de projet
  • Charlotte Duvette, chercheuse postdoctorante à l'INHA (depuis 2021)
  • Isabella di Leonardo, chercheuse postdoctorante à l'EPFL (2018-2020)
Comité scientifique
  • Gennaro Toscano, conseiller scientifique auprès de la directrice des collections pour le Musée, la recherche et la valorisation des collections à la BnF.
  • Isabella di Leonardo, maîtresse de conférences à l'École Polytechnique de Lausanne (EPFL).
  • Philippe Chevallier, adjoint au responsable de la coordination de la recherche à la BnF.
  • Olivier Jacquot, responsable de la coordination de la recherche à la BnF.
  • Elsa Marguin-Hamon, directrice de la recherche et des relations internationales à l'École des Chartes.
  • France Nerlich, directrice du Département des études et de la recherche à l'INHA.
  • Peter Geimer, directeur du Centre allemand d'histoire de l'art (DFK)
  • Jean-Baptiste Minnaert, professeur d'histoire de l'architecture à l'université Paris-Sorbonne (Centre André Chastel)
  • Frédéric KaplanDirecteur du Collège des humanités à l'EPFL
Équipe du projet
  • Charlotte Duvette, chercheuse postdoctorante et coordinatrice scientifique
  • Paul Kervegan, ingénieur d'études en charge des développements numériques du projet (gestion de la base de données, développement du site et des autres outils du projet)
  • Justine Gain, doctorante et chargée d'études et de recherches
  • Loïc Jeanson, chercheur post-doctorant, cartographie numérique et SIG
  • Colin Prudhomme, stagiaire, modélisation 3D de la place de la Bourse et enrichissements du SIG du projet
  • Esther Dasilva, stagiaire, recherches documentaires
  • Louise Baranger, monitrice étudiante, recherches documentaires
Remerciements
Pour leur aide à l'élaboration, au développement et au suivi du projet, l'équipe adresse ses remerciements à : Jean-Christophe Carius (INHA), Federico Nurra (INHA), Éric Mermet (CNRS, Paris Time Machine), Laurent Costa (CNRS, Paris Time Machine), Jean-Luc Pinol (ENS Lyon, Paris Time Machine), Jean-Philippe Moreux (Bibliothèque nationale de France), Livio de Luca (CNRS, MAP).

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